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une romancière par minou, un chant de coquelicot

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view post Posted on 23/2/2020, 20:04
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QUOTE (petiteneige2printemps @ 20/2/2020, 20:41) 
Rafaella, c'est vrai, le libraire reçoit parce que je suis distribuée, mais se fiche de ce qu'il vend. Il travaillerait dans une poissonnerie, ce serait pareil !



à bientôt tout le monde.

Et après on s'étonne que les gens achètent leurs livres sur amazon !...
 
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view post Posted on 17/4/2020, 17:36
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Mes amies

C'est avec une grande fierté, mais aussi en tremblant que je vous présente mon premier passage télé sur une chaine dédiée à l'art.
Soyez clémentes, je n'en menais pas large, trac quand tu me tiens !

Ici la vidéo.

Bon visionnage et bonne journée.
 
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view post Posted on 17/4/2020, 17:54
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Petiteneige, c'est formidable !! Je suis très contente pour toi, :) c'est la consécration de tous tes efforts, tout va continuer à briller pour toi j'en suis sûre ;)

Gros bisous :] :]
 
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view post Posted on 17/4/2020, 20:01
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Bonjour Marianne, c'est génial tu as assuré !! c'est une belle promotion pour ton roman et j’espère sincèrement que tu rencontreras le succès mérité.
Félicitations, car non, ce n'est vraiment pas un exercice facile.
Pleins de bisous :love2:
 
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view post Posted on 19/4/2020, 08:11
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Bonjour mes amies

Vous êtes adorables, merci, votre enthousiasme me fait plaisir.


@Caroussel : Oui j'espère sortir de l'ombre car d'après mon éditeur, suite à la diffusion de cette émission, il y a eu petit boum dans les ventes ! Hi hi hi !


@jeanne : C'est exact, l'exercice était plus difficile qu'il n'y parait, j'ai dû réitérer l'expérience une quarantaine de fois pour obtenir ce résultat, et encore, j'accroche certains mots.


Prenez soin de vous mes amies et à bientôt.
Bisous.
 
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view post Posted on 20/4/2020, 15:27
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QUOTE (petiteneige2printemps @ 17/4/2020, 18:36) 
Mes amies

C'est avec une grande fierté, mais aussi en tremblant que je vous présente mon premier passage télé sur une chaine dédiée à l'art.
Soyez clémentes, je n'en menais pas large, trac quand tu me tiens !

Ici la vidéo.

Bon visionnage et bonne journée.

le lien a expiré :(
 
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view post Posted on 21/4/2020, 07:22
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Zut !

Et là, ça marche mieux ?


https://m.facebook.com/story.php?story_fbi...1&id=1228416714


Dans quelques jours, il y aura une mise à jour de leur site et toutes les vidéos seront disponibles, il faudra chercher sur l'émission "parenthèse" sur la chaine France Art TV.

Désolée pour le lien éronné.
 
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view post Posted on 21/4/2020, 12:41
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qui adore Candy et Terry, et qui aime aussi Albert

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Bonjour Petiteneige,
Le lien fonctionne parfaitement.
On voit que tu es moyennement à l'aise, mais tu t'en es très bien sortie. Bravo
Et tant mieux si cela a pu t'aider à vendre...
😘😘😘
 
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view post Posted on 21/4/2020, 16:05
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Hé bien, écoute, bravo, car moi je me serais liquéfiée sur place !
 
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view post Posted on 2/5/2020, 06:27
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Merci les filles, vous êtes adorables.
 
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view post Posted on 16/8/2020, 12:17
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Coucou tout le monde !

Dans le doute, voici les deux premiers chapitres de la nouvelle qui paraîtra en octobre.

Bisous


SPOILER (click to view)
Le roi du ciel

Chapitre 1 Le calme après la tempête
Ce matin, j’ai laissé les enfants dormir un peu plus tard que d’habitude. Après le grand départ que nous avons effectué hier, j’ai estimé normal que tout le monde prenne un peu de repos. C’est mon tour de garde et je n’ai pas sommeil. Dehors, la mer est calme. Étrangement, le soleil brille et je constate l’absence de nuages, comme si la colère de la veille, qui avait déchainé les vagues entourant le récif, n’avait pas eu lieu. Le moniteur indique que le bateau garde le cap vers l’Europe, ou plutôt ce qu’il en reste. Nous sommes partis depuis si longtemps, j’imagine que le monde tel que nous l’avons connu a bien changé. Des pas dans le couloir. La porte s’ouvre et mon fils entre dans la cabine de pilotage.
– Bonjour Maman, fait-il en m’embrassant avec tendresse. Quand tout le monde sera réveillé, je vous montrerai ma dernière invention.
Je pince les lèvres en le regardant se diriger vers la cuisine préparer son petit déjeuner. Son air insouciant me fascine et mon cœur de mère fond d’émerveillement. Il a tellement grandi. Il n’est plus le petit enfant joueur que nous avions emmené en année sabbatique, il y a dix ans de cela. À cette époque, je ne m’étais pas imaginé que ce périple nous conduirait à vivre tels des Robinson Crusoé déserteurs. D’ailleurs, personne n’avait envisagé qu’une catastrophe allait assaillir le monde et faire de nous, des fuyards.
Dix ans auparavant, d’un commun accord avec mon époux, nous avions décidé de partir en bateau afin de visiter le monde, dans le but de faire le point sur les postes que nous occupions, lui ingénieur et moi infirmière. Nous n’étions pas vraiment satisfaits des conditions de travail, même si nous adorions nos emplois respectifs. Partir à l’aventure, rencontrer de nouveaux horizons, de nouvelles personnes, d’autres modes de vie, oublier nos tracas quotidiens, nous semblait un excellent compromis. Les enfants étaient en âge de voyager et de se créer des souvenirs à raconter à leurs camarades une fois de retour. Pour cela nous avons vendu tout ce que nous ne pouvions pas emmener. Nous avons stocké sur le bateau de quoi assurer notre survie durant six mois : de la nourriture, du matériel de pêche, des livres de classe, de quoi se divertir, et un ordinateur relié à un téléphone avec connexion internet par satellite. Nous avions choisi, en fonction des moyens qu’il nous restait, le plus grand bateau afin que chacun jouisse d’un espace assez confortable, et surtout de quoi entreposer nos réserves. Je supposais qu’au cours de nos escales nous achèterions de quoi vêtir Jocelin et Éva, au cas où ils grandiraient trop vite.
À l’origine, mon père devait faire partie du voyage. Depuis son départ à la retraite, il avait suivi des cours pour apprendre à naviguer. C’était son rêve d’enfant. Je me souviens, lors de chaque période de vacances scolaires, il nous emmenait en voyage. Malheureusement, il a été un des premiers à être contaminé par le virus, et il s’en est allé deux jours avant la date présumée de notre départ. Par mesure de précaution, nous n’avons pu nous rendre ni à son chevet, ni à son enterrement, ce qui pour l’infirmière que je suis, a été vécu comme un crève-cœur, de savoir Papa partir seul, sans me tenir la main, alors que je l’avais fait pour tant d’autres avant lui.
Ce fut aussi à ce moment que le gouvernement avait décrété cette mesure de confinement nécessaire pour éviter la propagation du virus. Avec ce que nous avions comme réserves, nous sommes restés à quai quinze jours de plus, puis un soir où les enfants étaient couchés, Laurent et moi nous sommes regardés avec cette intensité que partagent les couples qui n’ont plus besoin de se parler pour se comprendre. Nous étions d’accord. Aucun d’entre nous n’avait développé la maladie, nous étions sains. Alors, pourquoi rester ? Au petit jour, nous avons mis le cap en direction du sud. Le temps du voyage, nous supposions que d’ici là, le mal serait éradiqué. Oui, je sais que pour une infirmière et compte tenu du comportement irresponsable de nos semblables, c’était insensé de raisonner ainsi, mais à tourner en rond, nous sentions la folie nous envahir. Alors pour notre bien-être, nous sommes partis.
En l’absence d’un marin confirmé à bord, dès la première tempête, nous avons échoué sur une île déserte sur laquelle nous avons vécu ces dix dernières années. Laurent veillait à notre survie puis tentait d’opérer quelques réparations pour remettre notre navire à flot et réparer notre connexion satellite, tandis que j’enseignais à mes enfants les rudiments de lecture, d’écriture et de mathématiques, à l’ombre des cocotiers. Par chance pour nous, la mer échouait des restes d’épaves de bateaux, et nous avons pu récupérer du matériel de pointe à peine abimé.

À son tour, ma fille entre dans la cabine et me salue avec toute la grâce de l’adolescence révoltée, se plaignant du mal de mer. Ses cheveux en pagaille, et son air maussade, me font sourire. Je contemple ses vêtements, ou plutôt ce qui lui tient de vêtements. Avec le peu d’habits que j’avais prévu au moment de notre départ, j’ai dû sacrifier quelques un de mes effets afin d’agrandir ceux de ma progéniture. Pour cela, j’ai appris à me servir de tout ce qui me tombait sous la main : des arêtes de poisson en guise d’aiguille, un fil tiré d’une voile déchirée par la tempête, un métal tranchant échoué sur la plage en guise de ciseaux, leurs propres tee-shirts et pantalons que j’avais coupés afin d’en confectionner des bandelettes. Sa tenue, ainsi que celle de son frère, ressemblent à un patchwork de vêtements rapiécés. Je fabriquais aussi des mocassins avec une feuille de bananier, retenus par une ficelle. Ni pratiques, ni confortables. J’avoue qu’aller faire les boutiques me manque cruellement ! J’ignore si à notre retour sur le continent, cette activité sera encore possible. Ce n’était pas ainsi que j’envisageais la complicité avec ma fille. Je me voyais avec elle, tout comme du temps du vivant de ma mère, arpenter les avenues à la recherche du magasin à la mode, et profiter de l’insouciance de la vie.

À son tour, mon mari entre dans la cabine et m’embrasse avec affection.
– Enfin vous êtes tous réveillés ! s’écrie Jocelin. Vous allez assister à la mise en œuvre de ma dernière invention. Venez vite !
J’enclenche le pilote automatique, la mer est calme, nous ne risquons rien. Nous nous retrouvons tous à la proue. D’instinct, je compose un numéro sur le téléphone satellite en attendant que mon fils termine son discours de présentation.
Répondeur.

Chapitre 2 D’un roi à l’autre
L’avant de notre bateau, baptisé « Roi de l’Océan », est orné d’une représentation de Poséidon, vestige d’un ancien propriétaire pour rappeler avec quelle fierté, il avait effectué le tour du globe. C’est adossée à ce dieu mythologique que je m’installe, respirant les embruns de plein fouet, tandis que Jocelin récite sa présentation. Les inventions de mon fils, découlant de nos besoins, demeurent un mystère pour moi tant par son audace que par son inventivité. Depuis toujours, il a su développer un intérêt naturel envers les sciences. Avec les livres proposés à bord, sa faim ne s’en est jamais rassasiée. Il aurait fallu faire appel aux services du web pour assouvir sa soif de connaissances. Un jour, la mer a échoué une caisse de panneaux photovoltaïques que Laurent a bricolés et reliés afin de capter l’énergie du soleil et alimenter nos machines. Notre ordinateur fonctionnait à nouveau. Je retrouvais le contact avec mes proches, ceux qui avaient survécu au virus, sur les réseaux sociaux et surtout, mon fils découvrait les secrets de l’encyclopédie. Il y passait des heures. Grâce au système GPS, nous avions pu repérer notre île, un petit point perdu au milieu de l’Atlantique, si petit, qu’il ne figurait sur aucune carte des courants marins fournie par mon père. Il avait connu cette époque où ce matériel n’existait pas et jurait par tous les grands dieux que nous devions apprendre à nous passer de toute cette technologie. Comme il avait raison !
Entre temps, j’avais appris à préparer les repas grâce aux fruits que l’île offrait avec générosité. Éva avait repéré un ruisseau et filtrait l’eau après l’avoir fait bouillir. Laurent pêchait et rapportait du poisson ainsi que des fruits de mer qu’il trouvait en abondance. Nous ne manquions de rien. Cet endroit, nous l’avions baptisé le Paradis, car il ressemblait à s’y méprendre à la représentation que nous nous en faisions.
Avoir prévu six mois de vivres nous a appris à économiser, jeter le moins possible, réutiliser, jardiner les graines que nous trouvions dans les produits frais que j’avais apportés, mais une chose nous a vite manqué : l’eau et les produits d’hygiène. Grâce aux tutos du web et aux ressources de l’île, nous parvenions à fabriquer des produits essentiels. La qualité de notre nettoyage n’était pas impeccable car nous nous lavions dans l’eau salée, mais nous étions propres. Ce fut dans ces conditions que Jocelin a eu sa première brillante idée : par un système d’évaporation digne des alambics d’antan, il avait réussi à inventer une machine à adoucir l’eau de mer en eau potable. Par la suite, ses créations se révélèrent aussi ingénieuses qu’il était brillant.
J’ai très vite déchanté avec l’utilisation des réseaux sociaux car si dans les premiers temps mes proches me donnaient des nouvelles, elles n’étaient pas réjouissantes. Les deux tiers de la population avaient succombé à la maladie. Dans de telles conditions, je comprends que personne ne viendra nous chercher, ou alors ils le feront après l’hécatombe. Retrouver des naufragés, qui plus est considérés comme hors-la-loi, était le cadet de leurs soucis. Mieux valait s’occuper des personnes présentes que des déserteurs comme nous. Il m’a été rapporté que les mesures de sécurité s’étaient durcies. Le virus avait muté et était devenu incontrôlable. L’armée était la seule habilitée à rationner et soigner la population. Les survivants avaient ordre de rester confinés, et si l’un d’eux désobéissait, les forces de l’ordre avaient l’autorisation de tirer à bout portant. Dans un dernier élan d’espoir, certaines personnes malades et seules, traversaient le pays dans le but de se rapprocher de leur famille. Il parait que ce fut un carnage. Je me sentais impuissante à mon niveau. Si je n’étais pas partie, j’aurais pu leur apporter mon secours, ce à quoi Laurent me dissuadait :
– Si nous étions restés, nous serions morts.
Il n’avait pas tort. Mais un jour, je n’ai plus eu de nouvelles. Comme si tout ce qui restait de lien avec les autres avait disparu. Certes, les pages web existaient toujours, mais il n’y avait plus aucune activité sur les forums et autres plateformes de discussion. Les journaux non plus ne diffusaient pas d’informations. J’utilisais mon téléphone à liaison satellite, mais seule la voix du répondeur résonnait à mes oreilles. Que s’était-il passé ? Nous l’ignorions.
Avec le temps et les enfants qui grandissaient au milieu de ce paradis, l’un d’entre nous a eu l’idée d’essayer de téléphoner à des inconnus. Pour commencer, je testais les services comme les hôpitaux, ou des boutiques choisies au hasard de mes trouvailles sur le net. N’ayant aucune réponse, je tentais des particuliers dont j’inventais le numéro. Tous les jours, j’appelais et à chaque fois, le répondeur s’enclenchait.
Quelle perte de temps ! pensais-je les premières années.
Puis un jour, ce fut une voix, une vraie, une voix humaine, à la fois étonnée et ravie, qui se fit entendre. Je percevais presque des sanglots de bonheur dans ses intonations.
– Je m’appelle Stéphanie. Nous sommes échoués sur une île déserte. Qui êtes-vous ?
– Ola. ¿ Que tal ?
Je crois reconnaitre de l’espagnol.
– Ils sont vivants en Espagne ! m’écriais-je à l’attention des miens.
Je ne me souviens plus ce que j’ai hurlé dans le combiné, je crois que je lui ai expliqué en dépit du bon sens comment nous nous en étions sortis, et comment notre cage dorée nous avait protégés, mais que nous ignorions comment revenir. L’autre parlait en même temps, mais ce dialogue de sourds ne menait à rien, la communication fut coupée. Après avoir essayé d’appeler ce numéro, plus personne ne me répondit. Je composais d’autres numéros avec plus de frénésie, dans l’espoir de réitérer cet exploit, Laurent m’encourageait :
– Si un t’a répondu, c’est qu’il y en a d’autres. Nous ne sommes pas seuls. Nous ne sommes pas seuls !
Cette perspective a redoublé nos efforts pour mettre le bateau à flot, lequel depuis notre naufrage, nous servait d’habitation et de garde-manger. Nous avions abandonné l’idée de repartir car après tout, le Paradis nous convenait. Grâce à son ingéniosité, Jocelin a trouvé comment rebrancher les circuits qui ne fonctionnaient plus. C’est ainsi que nous avons réussi à mettre le cap sur la France, en suivant les indications du GPS. Quel port ? Au point où nous en étions, nous l’ignorions. N’importe lequel ferait l’affaire.

Mon fils en vient à la fin de son exposé :
– Certes, il y a des survivants, mais je pense que nous aurons plus de chance d’en trouver dans les grandes villes, et Paris n’est pas au bord de la mer. Aussi, j’ai trouvé le moyen de nous y rendre par la voie des airs.
– Hein ?
Notre petite assemblée l’observe, éberluée. C’est fou comme ce qui est compliqué aux yeux de néophytes peut paraitre évident pour un spécialiste comme lui. Je l’avais vaguement entendu parler de champs magnétiques, puis incapable de rester attentive plus longtemps face à ce savoir auquel je ne comprenais rien, je m’étais plongée dans mes souvenirs et mes espoirs. Ce fut à ce moment-là qu’il nous révéla un nouveau mécanisme sur lequel il travaillait depuis notre départ. Il l’enclenche et le bateau est entouré d’un champ de force magnétique qui le propulse dans les airs.
– Désormais, le bateau-volant s’appelle « le Roi du Ciel », annonce-t-il fièrement en nous montrant les ailes qu’il a ajoutées à Poséidon.
 
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view post Posted on 16/8/2020, 15:15
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Hello Marianne,

Ton nouveau roman s'engage bien, su un fond qui fait un peu peur.... seuls au monde ? Apparemment pas.
Hate de lire la suite.

Bravo

Pourquoi dans le doute ?
 
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view post Posted on 16/8/2020, 17:55
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Coucou Petiteneige,
J'ai adoré ces deux chapitres😀, on se laisse conduire par l'histoire et le suspens de retrouver d'autres survivants, Bravo, hâte de lire le livre 👏👍tu as beaucoup de talent !! 😘
 
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view post Posted on 17/8/2020, 10:50
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Merci les filles, vous êtes des amours <3 :love2:

Zouzou, je disais "dans le doute" car je ne savais pas si c'était le bon endroit pour poster s:


Bonne journée et encore :merci:
 
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view post Posted on 3/9/2020, 17:59
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Bonjour à toutes

Me amies, je viens de recevoir la nouvelle à l'instant, le recueil de nouvelles dont je vous parlais est désormais en pré-commande, il sortira d'ici un mois. Vous connaîtrez la suite des aventures de Stéphanie et de sa famille, en route sur le bateau volant.


Je vous glisse le lien ici :

https://libre2lire.fr/livres/evasions/?fbc...7USrk2sCXOYfbYk


Si vous aimez les nouvelles, vous allez vous régaler, si vous ne les aimez pas, faites une bonne action, achetez-le quand même et offrez-le. 6€ seront versés à l'association "le rire médecin".


Merci à bientôt.
 
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146 replies since 29/8/2019, 19:42   2518 views
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