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Albert... Le Prince des Collines, (le texte presque en entier... je vais écrire la fin, ^^)

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ankh7
view post Posted on 19/10/2012, 21:49




Ce texte est donc celui que j'ai écrit sans beta reader, je le remanierais à l'occasion, lorsque j'écrirais enfin le FIN ^^... Veuillez donc excuser les fautes de syntaxe, grammaire, voire peut etre aussi de cohérence... Je le soumets donc en premier jet (bien que cela fasse plus de 6 ans qu'il soit online sur mon forum )

L'histoire se passe donc juste à la fin du dernier Tome, quand Candy se jette dans les bras de Albert, et qu'elle comprend enfin qu'il s'agit depuis le début du Prince des Collines
:wub:
les passages plus torrides passeront dans la section "spéciale plus de 18 ans", mais le récit sera tout de même compréhensible sans eux....
merci ! ANKH

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Ses grands yeux verts me regardaient si tendrement... Et j'ai cru déceler une nouvelle étincelle dans ses iris emplis de larmes.
- Oncle William !!!
- Albert... la corrigeai-je en lui souriant, un peu gêné.
- Albert... murmura-t-elle en se jetant dans mes bras.
Comme j'aimais son contact, la chaleur de son corps si fin, si gracile. Je m'étourdissais de l'odeur délicate de ses cheveux, un mélange de fraise, de prairie, d'herbe coupée... si rafraichissante! Elle releva son doux visage teinté d'une sorte de respect craintif depuis la découverte de ma véritable identité, mêlé à une lueur inconnue.

- Mon... mon Prince des Collines?? chuchota-t-elle dans un souffle qui la fit rougir.
Ah!
comme j'aimais à voir ses joues se colorer de cette façon! Je me dégageai doucement de son étreinte si familière et lui pris les mains.
-Allons Candy... Il est temps que je t'explique...
-Tout le monde nous attend à la maison Pony...
-Oui... C'est vrai ! Les convenances...
Candy me sourit à nouveau, de son plus ravageur des sourires... Je ne pense pas qu'elle n’en ait jamais eu conscience.
- Nous pourrons en parler plus tard ! Ce soir…
- Non . Tu peux dormir ce soir à la Maison Pony si tu veux. Demain nous en parlerons à Lakewood. Lui assurai-je.
L’air de la colline de la Maison Pony semblait réellement adoucir les corps et les cœurs de tous. Patty ne semblait plus penser à Allistair, Annie paraissait plus proche d’Archibald, qui faisait de visibles efforts pour ne pas la froisser. Je pensai qu’il aimait toujours Candy, (j’avais raison) encore un prétendant ! Mais plus je la voyais et plus je songeais que les hommes ne pouvaient faire autrement que d’en tomber amoureux. Elle était si jolie dans sa petite robe toute simple, fleurie, rose pâle qui rehaussait sa blancheur de porcelaine. Si heureuse en servant tout ce petit monde… Je souriais, son bonheur elle le méritait. J’acceptais un verre de vin qu’elle me tendait.
- Voyons Candy ! s’indigna sœur Maria quand elle la vit boire un enième verre de ce même vin.
-Oups !!fit-elle en tirant la langue. (je me demandais si le collège St Paul acceptait cela ! Boire et tirer la langue ! )
Tous se mirent à rire alors qu’elle hoqueta ! La fin de soirée se passa très bien, très joyeusement. Un des petits
pensionnaires grimpa même plus vite que Candy sur leur grand chêne… ! elle en ria jusqu’aux larmes. Quel bonheur de voir des larmes de joie et non de tristesse, cela rosissait ses joues. .. Ah… Je la désirais
tellement quand je la voyais ainsi . Et je m’en voulais… Combien je m’en voulais…Ma petite protégée… Je ne savais pas si je pouvais l’aimer plus que comme « l’oncle William »… Si seulement je n’avais été qu’Albert… Mais je n’étais pas certain que cela aurait changé grand chose, car dans son cœur subsistait toujours la présence de Terry… J’avais entendu dire qu’il comptait épouser la petite Suzanne… Qu’il se sacrifiait … Je m’étais toujours effacé, mais depuis mon amnésie, je ne me sentais plus capable de ce genre de sacrifice… J’ai pris conscience
de mon amour pour Candy pendant « mon absence »… Je ne voyais que par Albert… Le réveil fut douloureux, étais-je toujours en droit de vivre avec elle, moi son père adoptif ? Pourtant je crois que je l’ai toujours aimée… Quand elle avait 6ans, j’en avais 15, je l’avais trouvée si adorable… Une petite fille qui avait rit de mon allure et de ma cornemuse ! La retrouvaille fut poignante lorsqu’elle eut son bain forcée à la cascade, dommage qu’elle se soit évanouie en me voyant ! Je me suis senti bien vieux sur le coup ! mais je n’avais que 21ans ! Ah la
la…
Je pensais que je ne porterais plus la barbe… Pour elle… pas pour le titre des André !
J’attendrais… J’attendrais ma chère Candy…


Le soir je pus rester à la Maison Pony ainsi que tous les autres. On nous avait installé des chambres de fortune, mais tellement chaleureuses que même la répugnance d’Archibald à se salir fut maîtrisée. La pièce fut partagée en deux avec un grand rideau : d’un côté les filles, de l’autre, les garçons. Sœur Maria fit tout de même la moue, trouvant cela inconvenant, mais Melle Pony souriait en disant que « jeunesse se
fasse !
». Tout le monde dormait dans ce paisible refuge. Je n’y arrivais pas. Je me retournais sur ma couche lorsque je vis Archibald se lever et écarter le rideau. Je fronçais les sourcils… Je savais que ce n’était pas Annie qu’il observait, mais bien Candy. Je détestais ce sentiment de jalousie qui me rongeait : je voulais garder Candy pour moi seul comme au temps de notre petit appartement où elle me soignait.

Ce n’était pas mon genre d’être dans cet état mais depuis qu’elle savait qui j’étais, je devais mettre à nu le reste de mon cœur. Je me levai soudain lorsque Archibald passa derrière le rideau… Il avait beau être mon neveu, je crois bien que je le frapperais volontiers ! Mais je n’en fis rien… Je devais me contenir, je ne me sentais pas cette âme de rebelle comme Terry ! Cependant Archibald n’avait pas à faire cela, dussé-je son cœur saignait.
Je tirai à mon tour le rideau et le vis, et ma crainte fut confirmée.
Il s’était agenouillé au bord du lit de Candy et effleurait son visage de sa main. Une étreinte enserra mon
cœur… Elle dormait paisiblement, tel un Ange, son visage baigné de la douce lueur lunaire. Il me semblait que c était un sacrilège de toucher à cette beauté si pure.
-Je ne pense pas que la Grand Tante Elroy approuverait une telle conduite d’un gentleman. Fis-je dans un souffle
pour n’éveiller personne.
Il se releva vivement, pris en faute, les yeux humides. Je soupirais. Je ne pouvais lui en vouloir d’aimer Candy,
mais je n’acceptais plus qu’un autre homme ne la touche. Il ne trouva pas de réponse et sortit de la pièce sans me regarder. Je pensais qu’il devait lui-même trouver le courage de chasser ses démons.
Ce n’était pas mon rôle….
Je retournais me coucher après un dernier regard à cette éblouissante cascade de cheveux blonds. Le reste de la
nuit se passa sans encombre, Archibald s’étant recouché un peu plus tard.

Le départ fut ponctué de joie et de futures retrouvailles. Candy me réconforta dans l’idée qu’elle revenait avec moi à Lakewood. Le soir même je décidais de lui parler de notre première rencontre et de son … porte-bonheur. Elle m’avait dit un soir –je la cherchais alors que Daniel lui avait tendu un piège « d’épousaille »-que cela la protégeait des fantômes…
Nous étions assis dans un bon fauteuil auprès de l’âtre. Elle portait une ravissante robe de soie blanche qui mettait en valeur sa taille fine et ses courbes délicieuses. Encore une fois je résistais à l’envie de l’enlacer, de la caresser… Elle avait dénouée ses cheveux, et les retenait en arrière avec un ruban… Elle paraissait plus mature
soudainement et attentive à mes paroles. Je bus une gorgée de Thé avant de commencer.


- Tu le sais Candy ce porte-bonheur appartient à la famille André. Toute la famille en possède un. Et j’imagine que c’est pour cela que tu m’as confondu avec Anthony.

Une ombre passa dans les yeux de ma bien-aimée mais elle sourit et je continuai.
- Il est vrai qu’Anthony et moi nous nous ressemblions à cet âge ! je souriais. Ma sœur me manquait, mais j’estimais qu’elle devait être plus heureuse au Paradis.
- Dis moi M. Albert. Me questionna-t-elle en me sortant de mes pensées. Elle prit son menton dans ses mains. Je dois te le rendre ? fit-elle avec une moue adorable.
Je riais après un moment d’étonnement.
-Non ! Candy ! Tu es une André à présent… Mais sache que je t’en ai fait faire un pour toi…
La surprise éclaira son regard bleu-vert.
- un pour moi ?
- oui. Mais c’est moi qui le garderais comme çà chacun aura une partie de l’autre.

Cette phrase ambiguë –j’en convenais- lui fit hausser les sourcils. Mais elle sourit très fort et joignit ses mains comme pour une prière :

-oh merci M. Albert !! Je ne voulais pas m’en séparer… Déjà qu’Eliza et Daniel voulaient le jeter dans le lac…

C’était à mon tour d’hausser les sourcils d’un air mécontent :

-pourtant ils savaient ce que cela représentait…

-oui mais ils devaient déjà croire que j’étais une voleuse !!

-Il n’y a pas de raison !C’est moi qui te l’avais laissé… fis-je alors que son étonnement grandissait…Et oui. Continuai-je. Ainsi je pouvais te retrouver !
Je pris une profonde inspiration avant de lui dévoiler :
- Je venais d’avoir 15 ans et une réunion familiale m’obligeait à prendre mes responsabilités en tant que Chef de famille. Mes parents sont morts quand j’avais 2 ou 3 ans et étant trop jeune je fus placé sous la garde de Georges par la Grand tante Elroy qui me fit passer pour l’Oncle William tout en me protégeant… Je ne voulais pas de toutes ses responsabilités et je m’enfuyais loin de toutes ses convenances ennuyeuses et j’ai atterri à la Maison Pony… où j’ai croisé cette belle petite fille si triste… Et c’est bien vrai que tu es « plus jolie quand tu ris que lorsque tu pleures ».
Cette dernière phrase lui fit couler quelques larmes, je m précipitais vers elle tout affolé…
- Ce… ce n’est rien… Cette phrase m’a toujours consolé, ainsi que mon porte-bonheur ! et que … mon prince des collines me le redise encore…je …

Elle sanglota de bonheur, mais je m’en voulais tant de lui avoir causé ces larmes, que je ne pus résister de la prendre dans mes bras. Et je lui posais un petit baiser sur son front. Elle releva un visage radieux vers moi et je fus soulagé. Elle eut un grand sourire…rien que pour moi. Si beau que je dus me contenir pour ne pas embrasser
ses lèvres d’adolescentes qui appelaient effrontément un baiser. Je fus surpris de l’entendre rire :
- Mon prince des colline est bien étrange ce soir !! Elle se dégagea de mes bras et se réchauffa les mains près du feu (malgré le printemps les nuits étaient fraiches) je ne pus m’empêcher de rougir mais sans qu’elle ne le vit. Je me méprisais !
Elle riait doucement au-dessus de sa tasse qu’elle venait de prendre en main avant de franchement éclater de rire !
- Quoi ? lui dis-je faussement vexé.
-Ben… voilà… je suis avec mon Prince des Collines et je…
Elle ne put finir se phrase et se mit elle aussi à rougir. Je sentais mon cœur battre à éclater. Pourquoi une telle réaction ?
- Je t’ai tant cherché… murmura-t-elle en caressant sa tasse. Et tu m’as toujours consolé… En tant que Prince des Collines, Oncle William et Mr Albert…. Elle ria à nouveau et me scruta du coin de l’œil –je ne pouvais détacher mon regard de son profil et de sa gorge délicate-
- c’est terrible de n’avoir pas tout compris !
- Ce n’est rien… c’est entièrement de ma faute, mais je devais me taire sur mes activités. Mais je ne pouvais plus continuer à mentir… J’aurais tant de choses à te dire…
Cependant alors que je finissais cette tirade je ne pus plus aller plus loin. Il était trop tôt. Je ne devais pas lui déclarer cet amour brûlant qui me consumait.
- M. Albert. J’ai confiance en toi… Et… elle posa nerveusement sa tasse. C’était la première fois que
je la voyais agir ainsi en ma présence, elle semblait…intimidée ?

- Je ne veux plus vivre toute seule M.Albert… fit-elle doucement à me broyer le cœur. Etait-ce ce que j’attendais ?Avec toi j’étais toujours apaisée et… et comme j’ai souffert lorsque tu es parti !
Elle avait dit ses derniers mots dans une sorte de plainte qui me fit fondre…je la reprenais dans mes bras et la serrant de peur qu’elle ne s’échappe.
- Pardon… Pardon ma Candy… Plus jamais je ne te laisserais. Je te le promets. Je te le promets…..
Je lui caressais ses cheveux si soyeux et elle me serra dans ses bras en sanglotant.
- Je ne veux plus être abandonnée… Je ne veux plus être seule… C’est… c’est pour çà… que… que je suis revenue… à …. A la Maison Pony..


Inconsciemment, je lui caressais ses frêles épaules, son dos menu, remontant jusque sur sa nuque. A nouveau je déposai un baiser sur son front, bien trop long pour n’être qu’une marque d’affection paternelle… Bien trop tendre aussi semblait-il…. Mais je ne pouvais m’en empêcher. Je caressais son visage et essuyais ses larmes qui roulaient sur ses joues. Comme une enfant au corps d’adulte, elle se frotta les yeux de ses petites mains
et me fit un autre sourire. J’étais penché au-dessus d’elle et je la regardai intensément comme pour graver son image dans ma mémoire. Elle se leva subitement et me donna un baiser sonore sur la joue.

- Je crois qu’il est temps que j’aille me coucher M. Albert. Merci…ajouta-t-elle tendrement. Merci…. Pour tout… mon Prince des Collines…
J’avais la sensation qu’elle n’en revenait toujours pas et semblait être ravie de m’appeler ainsi… Elle s’en alla me laissant en proie à une passion dévorante… Je t’attendrais Candy… Je t’attendrais…

Nous passions tous nos moments libres ensembles. Tant que la Grand tante Elroy était apte à « gouverner » je lui laissais ce privilège, repoussant toujours plus loin le moment fatidique où je devais reprendre les rênes de la famille André. Ainsi le plus clair de mon temps, comme à l’époque de mon amnésie, je m’occupais de Candy… Nous faisions presque tout ensemble ;même si son talent de cuisinière ne s’améliorait pas vraiment !!Nous avions donné congé aux domestiques et n’occupions que quelques pièces de mon immense demeure froide, qui
m’apparaissait cependant plus vivante avec cette enfant turbulente !


Un soir mon désir fut difficilement maîtrisable… Après s’être racontés des histoires de fantômes et qu’elle eut entendue des bruits suspects dans sa chambre –en fait le lendemain on avait vu Poupée se faufiler hors de
l’armoire où elle sy ’était endormie- elle voulut dormir avec moi… Imprudente… Naïve petite fille pure ! Nous n’avions qu’un seul grand lit pas comme dans notre appartement et nos lits superposés !
Mais enfin j’acceptais après ses prières…

- Candy ! Tu es bien capricieuse !!

- Meuh non ! J’ai entendu du bruit !! J’ai pas peur… Hein !! Tu le diras pas M. Albert !!?

C’était vrai que Candy n’était pas peureuse, mais bon.. Il faisait froid.. Alors j’acceptais au grand damne de mon corps qui réclamait autre chose…

Je riais de sa façon de se cacher sous les draps.

-Mais enfin Candy ! Il n’y a pas de fantômes !!

-Oui ben c’est comme Terry aimait à me faire croire… Je…

Un silence pesant s’abattit dans la chambre devenue glaciale malgré la chaleur de la situation, dès qu’elle eut prononcée le nom de Terrence….

Elle sortit sa tête du drap et me regarda, désarmante. Elle me tira la langue en s’excusant.

****** NdA : je me rends compte qu'il manque un passage à ce paragraphe ! ********

Un autre deuil embruma les yeux de Candy lorsque toute la presse annonça le mariage du plus grand acteur Terrence G. Grandchester avec la jeune infirme Suzanna Marlow. La peine de Candy me brisait, mais je serais patient. Elle écrivit une lettre à Terry pour le féliciter mais jamais elle ne lui envoya… Je comprenais qu’il n’était pas encore temps… Je t’attendrais toujours s’il le faut Candy. Quelques soirs je la voyais pleurer sans bruit pour ne pas me peiner… mais je souhaitais tant qu’elle se confie à moi. Puis un jour… Un jour elle le fit, elle me raconta son chagrin un an plus tard, alors que la femme de Terry venait de mettre au monde un petit garçon. Candy semblait enfin apaisée, plus souriante… Et elle décida d’envoyer sa lettre.

- Je tire une bonne fois pour toute un trait sur mon passé Albert. M’avait-elle confié.
Qu’elle était devenue belle ! Je ne me lassais pas de l’admirer quand mes temps libres me le permettait. Ses formes étaient plus épanouies et elle était plus douce, plus sage qu’auparavant bien qu’elle continuât de grimper dans les arbres ! (je la suivais d’ailleurs ! )
Ce qui devenait pesant c’était la Grand Tante Elroy ! ces « excursions » dans ma demeure étaient de plus en plus présentes et elle souhaitait ardemment que je me marie pour avoir un nouvel héritier… J’aquiesçais toujours dans ces conditions… Et l’écoutais d’une oreille plus ou moins attentive sur la manière de tenir la famille André !
En ce qui concernait le mariage ma décision était prise… Je pensais qu’il était grand temps que je me déclare à mon unique aimée Candy. La Grand Tante Elroy essayant vainement de me présenter telle ou telle prétendante que je congédiais en suivant Candy dans les arbres.

Un après-midi de mai, alors que la Grand Tante Elroy m’avait présenté de force à cinq jeunes filles de bonne famille, Candy m’apparut distante et froide à mon égard.
Tous les deux dans notre arbre favori en face de Lakewood nous contemplions le lac qui scintillait sous le coucher du soleil.

-Tu sais Albert, la Grand Tante a peut être raison…

- A propos ? je redoutais sa réponse.

- De mariage… Je crois que sa maladie s’aggrave et qu’elle veuille voir un héritier avant de mourir.

- Mmh. Fis-je. Assurément je n’avais pas pensé à cela.

Je contemplais la jolie jeune fille dont le soleil printanier avait fait ressortir ses tâches de rousseur. Elle semblait pensive et étrangement nerveuse. Peut être était il enfin temps ?

- j’ai en effet pensé à me marier Candy. Dis-je alors dans un souffle. Et j’ai déjà arrêté mon choix…

Je la vis fermer les yeux d’un air douloureux. Sa poitrine se souleva en un hoquet qui me fit froncer les sourcils. Que lui arrivait-il ? (était-ce une pointe de jalousie ?? ) Je n’eus pas le temps de terminer ma phrase qu’elle se leva prestement et descendis de l’arbre. Elle me lança un autre regard partagé semblait-il entre désarroi et tristesse.

-Très bien M. Albert… sa voix se fit murmure. J’espère que tu seras heureux…


Ma Candy d’habitude si agile dans ses arbres glissa sur une branche….

- Candy !!! m’écriai-je en volant à son secours.
Mais avec horreur je la vis tomber à terre la tête se cognant violemment sur le sol.
Mon Dieu ! Qu’ai-je fais ? m’écriai-je à nouveau en la prenant dans mes bras.
Son front saignait et tout son corps tremblait. Mon cœur se brisa lorsque j’aperçus des larmes couler le long de son visage pâle.

****
fanfic en cours.. je ne l'avais plus retouchée depuis qu'elle était sur mon site..en la remettant ici, j'espere la finir ... ^^
© Toei Animation | © Kyoko Mizuki et Yumiko Igarashi - 1978
 
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anneline
view post Posted on 12/9/2013, 07:39




hâte de voir la suite . J' aime ce couple.
 
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fleurie
view post Posted on 5/11/2014, 21:34




c'est vraiment n'importe quoi votre fancfiction terry épousé suzanne qu'il n'aime pas vous déformez l'histoire d'amour de mizuki car l'homme le plus amoureux de candy c'est terry et si dans final story il n'a pas épousé suzanne c'est certainement aussi parce qu'il ne veux pas avoir d'enfant avec elle. Si il dit qu'il l'aime bien comme une soeur il ne l'aimera jamais. Et si terry est le grand amour de candy comme l'a désigné mizuki et comme dans les épisodes il ne peut donc pas tombé amoureux de suzanne. On ne tombe pas amoureux comme ca d'un coup de bagette l'amour ne fonctionne pas comme cela. Vous déformé tout. Et candy avec Albert c'est l'oncle william son père adoptif c'est incestueux et malsain et dans les épisodes Albert ne parait amoureux de candy par rapport a terry qui lui en est fou amoureux la relation n'est même pas comparable. Les fans mélangent tout. Parce que Albert était le prince de la colline et alors elle avait 6 ans et elle ne savait qui était ce jeune homme. Les fans imaginent tout et n'importe quoi au point de salire l'histoire et même parfois les personnages. En plus si candy épousait albert elle se rapproche de la famille legrand cette famille qui la deteste et dans ce cas elle est promise a vivre le malheur à cause d'élisa ce n'est pas le but, alors que si elle épouse terry celui qu'elle aime le plus elle s'éloigne de la famille legrand, et cela tombe bien puisque elle voulait changé de nom elle ne voulait plus du nom d'André. Puis terry est un noble aristocrate alors candy serait protégée avec terry et et aurait autant de fortune et de poids que elisa car si elisa n'était pas de cette famille riche elle serait obligé de se calmer vis a vis de candy, elle en profite et se croit supérieur. Puis albert ne s'est jamais opposé à la relation amoureuse de candy et terry et n'a jamais été jaloux parce qu'il veut le bonheur de candy, il est même parti en afrique la sachant avec terry car il avait compris se qui se passait entre eux et alors les fans déformes tout. Il y a une lisa qui imagine que albert tue suzanne pour faire accusé terry devenu alcoolique. Et que suzanne vient voir candy parce que terry boit et la battrait, et candy finirais dans les bras de daniel le frère d'élisa celui qu'elle déteste le plus et qui lui a toujours fait du mal, c'est n'importe quoi. MAIS VOUS AVEZ L ESPRIT TORDU LES FANS C EST N IMPORTE QUOI VOUS DEFORMEZ TOUT CELA DEVIENT UNE HISTOIRE POURRI. VOUS SALISSEZ L HISTOIRE LES PERSONNAGES. On voit que vous n'avez pas la vie de candy car la méchanceté pur et dur existe bien dans la vie réelle et je parle en connaissance de cause. Cette pauvre candy avec des fans comme cela n'a pas de chance et ce pauvre terry aussi.
 
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view post Posted on 18/6/2015, 09:06
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A quand la suite
 
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Radou
view post Posted on 5/3/2018, 04:49




Très belle histoire. A quand la suite.💋💋💋
 
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view post Posted on 11/3/2018, 21:17

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Oh oui, a quand la suite? ;-)
Bises
 
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