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Sur la nature d'Anohito, texte de Scottie en français

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sunnyrainbow
view post Posted on 25/11/2012, 14:54 by: sunnyrainbow

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(suite)

Anohito dans le présent de Candy


Le roman nous offre des petits indices pour définir qui est Anohito, mais ce ne sont que de vagues pistes qui peuvent être attribuées aux deux : Terry et Albert. Essayons d'établir un parallèle entre les indices.


Les traits de caractère d'Anohito


Les deux compétiteurs qui se font face quant à l'identité d'Anohito ont les traits de caractère suivants :

Terry : Dans l'histoire, le personnage est présenté comme étant un être heureux, jaloux, impulsif, possessif, arrogant, noble, généreux, dévoué, passionné, solitaire, triste, folâtre, élégant, déprimé, dur, rustre, indécis et violent. Il a été séparé de sa mère et a été obligé de se séparer de Candy (séparations forcées).

Albert : Dans l'histoire, le personnage est présenté comme étant un être joyeux, amical, cordial, généreux, indépendant, attentionné, aventureux, instable, solitaire, gentil, mystérieux, égoïste et insouciant. Il n'a pas peur des séparations, il apparaît et disparaît comme ça lui plaît.

Voyons ici quelques extraits qui distinguent Anohito :

(Recommandation : s.v.p. veuillez vérifier les fragments que je propose avec les traductions que vous possédez ou qui sont sur le web et comparez s'ils sont corrects).


Extrait 1 : Candy veut demeurer avec Anohito.


"Grâce au Grand-Oncle William, il a été possible d'obtenir le terrain de M. Cartwright. Et la Maison de Pony est remplie d'orphelins comme d'habitude. J'aimerais pouvoir venir en aide aux professeurs, mais en ce moment ---- Je ne veux pas le laisser LUI qui, plus que tout, me veut à ses côtés tout le temps." Vol. I, p. 230-235, la rétrospective de Candy.

Ici on est témoin de la personnalité de Terry, pourquoi?

Terry a ses raisons de ne pas vouloir se séparer de Candy. Il a vécu une séparation douloureuse de plusieurs années, environ 9-10 ans. Candy ne veut pas non plus être séparée de lui car elle affirme qu'elle ne veut pas le laisser. Cela correspond bien avec la douleur qui a accompagné leur séparation suite à l'accident de Susanne.

D'une autre part, il révèle sa nature possessive (i.e. se rappeler sa jalousie envers Anthony). Ce personnage envoie à Candy un billet pour New York - aller simple - parce qu'il souhaite qu'elle reste avec lui. Terry en tant qu'amoureux veut posséder Candy, sentiments qu'il a démontré dès les jours du Collège de St-Paul.

Pour sa part, Albert n'a jamais souffert de séparation avec Candy; en fait il dit même littéralement dans une de ses lettres qu'entre eux, il n'y a pas de séparation. "Candy, pas d'au revoir entre nous. Je suis certain qu'un jour on se reverra." Vol. II, pages 95-97.

Albert n'a démontré dans l'histoire aucune peur de la séparation - et quand il décide de partir, il le fait sans peur et sans attaches; il ne pourrait donc pas désapprouver la proposition que Candy aille en Amérique s'occuper de Mlle Pony et il pourrait même accepter qu'elle y aille seule s'il était Anohito.

Qu'est-ce qu'un fragment remanié?
Considérons ce fragment que bequi propose dans son journal :

"Soudain les voyages d'affaires ne sont plus nécessaires et définitivement les voyages de William Albert sont terminés. Peut-être a-t-il même été victime d'une crise du coeur mineure..."

"Grâce à l'Oncle William, il a été possible d'obtenir le terrain de M. Cartwright. Et la Maison de Pony est remplie d'orphelins, comme d'habitude. Je souhaiterais pouvoir aider davantage les professeurs, mais maintenant ---- je ne veux pas le laisser, qui, plus que tout, me veut à ses côtés tout le temps". Vol. I, pages 230-235. Cité du journal de bequi, "Anohito unraveled".

Ceci est une de pires manipulations du roman de Misuki par l'analyste. Dans la traduction originale Kyoko parle d'un "IL/LUI" mais dans la traduction de bequi "IL/LUI" n'est plus. Il n'y a pas de séparation entre Oncle William et le reste de la phrase. Des changements de ce genre dans un discours viennent miner le sérieux d'une analyse.


Extrait 2 : La bibliothèque dans la demeure de Candy.


"Quand j'ai refermé ma boîte aux trésors, j'ai pris une respiration profonde pour rafraîchir mes sentiments et je suis allée dans la pièce d'à côté. Tout le long des murs de cette pièce se trouve une collection de livres reliés en cuir : Une collection compréhensive des oeuvres de Shakespeare, de la littérature anglaise et française, des textes médicaux..." Vol. II, p. 197.

C'est définitivement le portrait d'un couple fait de Candy et Terry.

Terry : "Wow, Terry. Ces étagères sont remplies de livres de pièces de théatre! Et c'est l'oeuvre complète de Shakespeare."
"ah, ah..."
Terry s'est arrêté et a pris un livre d'une étagère, puis il est revenu.
Eleanor Baker. Quand la mère de Terry est repartie, elle lui a proposé de l'accompagner en Amérique pour étudier le théâtre. Sa mère devait ressentir que Terry avait un profond intérêt pour le théatre. Vol. II, pages 83-93, Été en Écosse.

"En Écosse, Terry était absorbé dans la lecture à voix haute de la pièce de Shakespeare." Vo. II, pages 186-188. La rétrospective de Candy concernant la performance de Terry.

Albert : aucune référence.


Extrait 3 : Voyage aux États-Unis comme passagère clandestine.


Candy : "Quand j'ai mentionné mon retour aux États-Unis, au début il a rit à l'évocation de mon histoire. Puis son expression est devenue sérieuse, il m'a serrée dans ses bras et a dit "Heureusement tu étais hors de danger". Vol. II, pages 148-149.

Encore une fois on fait référence à la personnalité de Terry.

Terry est un espiègle de nature et va rire des adventures et agissements de Candy, mais il est formel et se préoccupe de ce qui aurait pu lui arriver. Il n'est pas une personne qui s'aventure ainsi et on pourrait aussi dire qu'il est un personnage plus traditionnaliste qu'Albert. Terry a été élevé comme un fils d'aristocrate.

Albert, lui, peut prendre la nouvelle plus calmement et ne pas s'en faire car lui-même est un aventurier, il prend des risques et ça ne le dérange pas; il a vécu dans la jungle, dans la rue, dans la forêt avec les animaux sauvages - alors il peut bien comprendre cette imprudence de Candy sans s'en inquiéter. En fait il dit lui-même qu'il est allé à Londres comme passager clandestin.


Extrait 4 : La boîte à bijoux de Candy


"J'ai pris la boîte à bijoux du derrière de l'armoire. Cette grande boîte est décorée de nacre de perle et de petites pierres précieuses. "Il" m'a dit que cette boîte était transmise dans sa maison de génération en génération."

"Je ne vais pas avec une si précieuse boîte à bijoux" que je lui ai dit.

Il a insisté avec un sourire. "D'accord, alors utilise la comme tu veux".

C'est bien trop splendide pour moi alors j'y insére mes objets les plus précieux. Mes mémoires, des coupures de presse de journaux et de magasines, et plein de lettres." Vol. II, p. 149.

Encore une fois, ce passage semble faire référence à Terry.

Une réponse de ce genre est typique de la personnalité de Terry, qui ne se proéoccupe pas des objets précieux et il y a plus de chances qu'une telle boîte appartienne à la maison des Grandchester.

Albert n'est pas attaché aux objets matériels nonplus, mais il accorde une valeur aux objets familiaux en tant que William Albert Ardley.

Les deux peuvent être Anohito.


Extrait 5 :La peinture de John et la demeure de Candy


"...J'ai lentement marché devant le meuble, au-dessus duquel est accroché dans son cadre fait à la main, une peinture à l'huile de grandeur 55 X 33 cm. Cette personne l'a installé de façon à ce que la peinture soit visible à partir de n'importe quel endroit. C'est lui qui l'a trouvé dans un marché aux puces à Londres il y a quelques années."

N'est-ce pas un merveilleux cadeau?

Cela ne prenait qu'un regard pour reconnaître imméditatement ce que celle-ci, parmi toutes les vieilles peintures, représentait : la Maison de Pony. On y voyait la vue qu'on a à partir de la colline de Pony. Un merveilleux mois de Mai.

La Maison de Pony avec un tapis de trèfles blancs de boutons d'or. La Maison de Pony entourée d'arbres verts feuillus. De l'herbe haute et tendre. Et puis les coloris fleuris de lupins et de rudbeckis qui encerclent la maison." Vol. I, préface.

On parle ici de la demeure actuelle de Candy. Anohito a donné à Candy une peinture de John qu'il a trouvée à Londres, on peut donc déduire qu'ils habitent possiblement en Angleterre, ou bien quelque part dans le Royaume-Uni. Je suis portée à croire que pour Albert comme pour Terry, ça pourrait être en Angleterre.

Terry : Il est un acteur de théâtre anglais. L'Angleterre est un pays reconnu pour sa culture traditionnelle en théâtre. Peut-être a-t-il trouvé la peinture de John dans une de ses tournées. Dans sa lettre, Candy le félicite pour sa tournée au Royaume-Uni lors de la présentation de Hamlet. Il pourrait s'installer à Stratford-upon-Avon et faire partie de la prestigieuse Royal Shakespeare Company. Ces présomptions sont réalistes.

Albert : Il est un businessman américain important. Que ferait-il en Angletrre? Il peut y avoir une explication. Désolée, fans de Terry mais pour rester juste je ne ferai pas comme bequi dans son journal. Pour sa défense, elle n'en parle même pas, mais j'ai trouvé cette possibiliité.

Albert dit, "Candy, ce n'est pas que je voyage sans rien faire et sans probèmes. Quand j'étais en Angleterre, je me préparais à organiser tout le nécessaire pour agrandir notre domaine d'activité là-bas". Il parle du temps lorsque Candy était à St-Paul.

Ce qui veut dire qu'Albert a un alibi pour le futur, il pourrait donc être Anohito.

La peinture de John... C'est une vue panoramique de la vieille Maison de Pony. Le point de vue de la peinture est au printemps. La question à se poser est la suivante : Comment Albert et Terry ont-ils vu la Maison de Pony pour la première fois? Examinons :

Albert : "Je ne sais pas pourquoi j'ai arrêté la voiture et suis grimpé en haut de la colline. J'avais l'impression que c'était autant pour sa grandeur que pour sa hauteur, qui correspondent exactement à l'image de "colline" que j'avais.
Je me suis couché - le ciel avait l'air si haut vu d'ici. J'étais en contemplation de la lumière de ce ciel." Vol. II, pages 293-304, "lettre d'Albert à Candy".

Quand le Prince de la Colline rencontre Candy dans les versions du DA et aussi dans le manga, il n'était pas intéressé à observer la Maison de Pony. Maintenant les fans d'Albert peuvent dire que c'est cette colline où il a finalement avoué a Candy qu'il était le Prince de la Colline et qu'il est retourné à la colline plusieurs fois par la suite, donc qu'il a plus de connaissances de l'endroit. Le problème avec cette interprétation est qu'elle perd de sa force esthétique. Il faut toujours partir de la première rencontre, mais faites-en ce que vous voulez.

Terry : "Je veux aller à la Maison de Pony où tu as grandi"... Tes mots me traversent l'esprit. Ton sourire quand tu me l'as dit me traverse aussi l'esprit.

"Pourtant j'ai entendu de Mlle Pony et Soeur Maria que tu as regardé autour du grand chêne sur lequel je grimpais, que tu as regardé le pommier où je me pratiquais à lancer le lasso, et la Colline de Pony.

Les arbres que tu as peut-être touchés. La colline où tu t'es tenu --- Ils deviennent encore plus précieux pour moi." Vol. II, pages 174-175.

Dans le manga ainsi que dans le DA Terry visite la Maison de Pony en hiver. Dans le roman Candy, Candy Final Story avec cette lettre on propose la même image que dans le fragment.

Terry est très triste et regarde la Maison de Pony et les arbres qui entourent la vieille maison, puis il marche sur la colline de Pony et observe la maison pendant qu'il dit au revoir à Candy. Il veut capturer cette image de la maison de Candy comme une photographie. C'est très possible qu'il a fait le parallèle entre la Colline de Pony et la splendeur de Mai de la Deuxième Colline de Pony à St-Paul.

Les fans d'Albert peuvent dire que puisque sa visite était en hiver, Terry ne connait pas la nature de la colline en mai et qu'Albert en sait plus à ce sujet. Albert a la nature, mais Terry a la vue panoramique.

Terry connaissait la Deuxième Colline de Pony (la "fausse colline" comme on la surnomme dans le manga), ce qui peut signifier qu'on peut parfaitement associer la nature de la Deuxième Colline de Pony de St-Paul en mai à celle de la Colline de Pony.

En fait, Nagita nous donne un indice d'une association que Terry peut faire entre la nature à Londres et la nature qui entoure la Maison de Pony.

Quand Candy parle de la peinture de John, elle nous dit que cette peinture est une vue panoramique de la Colline de Pony.

"La maison de Pony entourée d'arbres feuillus verts. De l'herbe haute et tendre. Et puis, les coloris fleuris de lupins et de rudbeckis encerclant la maison". Vol. I, préface.

Si on compare les jonquilles, jacinthes des bois et digitales dans la forêt du Collège de St-Paul et de la Deuxième Colline de Pony avec les lupins et les rudbeckis entourant la Maison de Pony on remarque que les jonquilles et rudbeckis sont jaunes, que les jacinthes des bois, digitales et lupins sont d'une couleur oscillant entre le bleu et le violet. On parle d'une peinture de grandeur 55 X 33 cm qui décrit la vue panoramique d'une vieille maison en bois entourée d'arbres verts feuillus et encerclée de coloris de fleurs jaunes, bleues et mauves.

Terry a entendu les histoires de Candy concernant la Colline de Pony et la Maison de Pony, et possiblement elle lui a fait part de la nature de cet endroit qui lui était si cher. Lui même a aussi vu la maison, il a regardé intensément les arbres, lui a dit au revoir à partir de la Colline en observant la Maison, et il connaissait les couleurs de la colline de St-Paul.

Voici quelques extraits de la nature au Collège de St-Paul :
"les jacinthes des bois fleurissaient en profusion dans la colline qui était dans la forêt." Vol. II, pages 25-32, festival de Mai.

"Les digitales se balançaient, surprises par le cheval qui les a traversées." Vol. II, pages 25-32, festival de Mai.


Extrait 6 : Les jonquilles et la Rivière Avon


"La Rivière Avon coule facilement, recevant les rayons d'un soleil d'après-midi du printemps hâtif. L'air frais de la rivière calme mes émotions agitées et ardentes. Une odeur de jonquilles entre du patio. Je respire profondément le doux arôme." Vol. I, pages 230-235.

Candy : "J'ai seulement trébuché sur toi! Tu te reposes partout comme une pierre".
Terry : "Aucune pierre ne peut apprécier le parfum des jonquilles." Vol. I, pages 317-319.

L'association de Terry avec les jonquilles fait écho. L'odeur des jonquilles qui apaise Candy dans son présent rappelle son lien avec Terry. Les deux respirent les jonquilles et sont unis par cette fleur qui représente le printemps hâtif après un long hiver. Ce n'est pas seulement la fleur qui est une mémoire commune mais aussi le symbole de lumière que représente Terry aux yeux de Candy. (J'analyserai cet aspect plus en profondeur plus loin).

Il y a une transition soigneusement élaborée par l'auteur entre les roses d'Anthony et les jonquilles de Terry. Observons :

Candy nous dit :
"Une fleur rose créée par Anthony ---- Maintenant je suis trop loin pour sentir l'arôme. Anthony est mort ce matin-là ---- devant moi." Pages 230-235.

Candy rencontre Terry à la veille du Nouvel An. La présence de Terry en hiver rappelle sa proximité au printemps hâtif dans la vie de Candy. La scène des jonquilles à St-Paul autour du mois de mars fait cette transition des roses vers les jonquilles.

Candy n'arrive pas à sentir l'odeur de Douce Candy mais elle respire le doux arôme des jonquilles dans sa maison.

"J'ai seulement trébuché sur toi! Tu te reposes partout comme une pierre."
"Aucune pierre ne peut apprécier le parfum des jonquilles." Vol. I, pages 317-319.

On peut aussi déduire l'allusion de Misuki concernant l'opportunité que la vie offre par contraste à la mort. Puisque Terry est vivant, lui aussi peut respirer les jonquilles. Candy peut sentir les jonquilles dans son jardin car elle est vivante.

De plus, on sait que la jonquille est la fleur qui représente l'arrivée du printemps après un long hiver. En Angleterre, cette fleur représente aussi l'espoir.

Le contraste entre la mort d'Anthony comme un long hiver et l'arrivé du printemps hâtif des jonquilles de Terry est une belle métaphore symbolisée par l'auteur.

Si on s'attarde un peu au symbolisme des fleurs, la jonquille blanche symbolise le désir de l'amour et la jonquille jaune pure représente l'espoir et la patience. C'est une bonne fleur pour anticiper l'amour pur qui grandit entre Candy et Terry et aussi la patience dont ils auront besoin pour faire face à leur longue séparation.

Albert : Il n'y a aucun lien avec ce personnage. Dans son journal, bequi veut associer Albert avec les bleuets (fleurs bleues, en anglais bluebonnets). De mon point de vue cette relation s'applique à la famille Ardley en général car la fleur est reliée directement à la Maison Ardley de Lakewood, donc elle pourrait représenter d'autres personnages, pas seulement Albert. Si Albert devait être lié à une fleur dans Candy, Candy Final Story, ce serait plutôt le magnolia qui est aussi le nom de l'apartement qu'il partage avec Candy.

Le magnolia est associé avec la beauté et la persévérance, aussi avec la dignité et la noblesse. Elle symbolise aussi la douceur et l'amour de la nature.


La Rivière Avon...

Albert : Pour Albert, un lien avec la rivière est incertain. En Angleterre on retrouve plusieurs rivières Avon : celle dans le Devon qui coule jusqu'à Bigbury-on-Sea, celle dans le Warwickshire qui coule à travers Stratford-on-Avon, celle dans le Hampshire qui passe par Salisbury et Christchurch, et celle de Bristol qui passe à Bath et Bristol. Le journal de Bequi propose la rivière Avon qui coule à Bath.

Terry : La rivière Avon qui coule dans le Warwickshire passe à travers Stratford-upon-Avon, ville dans laquelle est basée la Royal Shakespeare Company. Terry est un acteur shakespearien.


Extrait 7 : Le journal de Candy et la question d'Anohito.


"Quand j'ai mentionné mon voyage de retour aux États-Unis, au début il a ri en écoutant mon histoire. Puis son expression est devenue sérieuse et il m'a serrée dans ses bras. "Heureusement, tu étais hors de danger" a-t-il dit." Vol. II, pages 148-149.

Albert : Sa manière d'apprendre le retour de Candy en Amérique aurait pu être lorsqu'ils cohabitaient dans l'appartement des magnolias.

Terry : Ce personnage n'est pas au courant de ce segment de la vie de Candy. Les lettres qu'elle lui envoyait ont été partiellement volées par Susanne. Dans la lettre qu'écrit Candy à Terry sans lui envoyer, on apprend qu'il ignore cette information.



(suite bientôt!)
 
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15 replies since 24/11/2012, 14:26   12537 views
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