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| Une de mes amies, professeure à la retraite, s'est penchée sur l'ouvrage, au final il restait quatre tournures de phrases bancales et peu de fautes. C'est elle qui m'a conseillé de le proposer à un professionnel. Comme quoi, elle n'avait pas tord. Oui, les éditeurs sont des personnes sensibles au bon usage du français, mais avec le peu d'erreurs restées lorsque j'ai envoyé le manuscrit, c'est passé comme une lettre à la poste. Concernant les règles de la typographie, j'ai une formation de secrétaire, donc... J'ai cette vigilance. Et puis, c'est marrant que tu en parles, une fois le contrat signé, le roman est passé entre les mains d'un pro pour se charger du sale boulot, le gars m'a corrigé des fautes de français qu'un de mes personnages commet lorsqu'il s'exprime. Travail inutile car j'ai dû repasser derrière lui puisqu'à un moment le lecteur sait pourquoi cette personne fait des fautes. En fait son travail s'est limité à souligner les quatre tournures bancales, afin que je rédige moi-même. Plutôt respectueux comme démarche n'est-ce pas ?
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